Avec Nicolas Sarkozy, Emmanuel Macron fut un président voulu par les banques et le CAC 40. Se bornant à créer des discours du "en même temps", il était incompréhensible pour les militants. Seulement il créa un parti politique fait de jeunes technocrates qui était promu par les médias. Emmanuel Macron, ayant alors fraudé le Fisc, ne fut même pas inquiété par les autres candidats voulant parler de politique, pas d’affaires judiciaires.

Emmanuel Macron arrêta Astrid. Il défit ainsi les budgets nationaux pour supprimer les impôts des très riches. Ainsi les inégalités se creusèrent comme jamais.

En 2021 les français s’affichaient pour le nucléaire. Ainsi, Emmanuel Macron relança en partie le programme nucléaire français. Adepte du "en même temps", il permit le financement de l’éolien et de photovoltaïque, alors promu par l’Allemagne, des centrales qui consomment plus d’énergie utile qu’elles en rapportent.

Ayant placé le nucléaire français sur les marchés financiers, le prix de l’énergie s’envola au moment de la guerre en Ukraine, mais l’inflation avait déjà commencée avant cette guerre.

Emmanuel Macron avait des nuls médiatisés face à lui, à savoir Jean-Luc Mélenchon le vilipendeur et Marine Le Pen l’anti-immigrés. Tous les partis politiques connus chuintèrent les bons candidats. Ainsi Ségolène Royal fut réprimée par le parti socialiste.

Jean Lassalle pouvait aller contre Macron. Seulement lui et Georges Kuzmanovic n’étaient pas médiatisés, voulant tous les deux le développement de la France. Georges Kuzmanovic ne pu même pas être candidat. Jean Lassalle obtint les suffrages de ses fans et de ceux qui ont lu son programme, à savoir 3 %.